Nombreux sont ceux qui ont découvert la montagne dans les pages de Premier de cordée.
Le grand roman de Roger Frison-Roche, pour la première fois illustré de 300 photographies historiques, fait revivre, dix ans après la disparition de l'auteur, les hommes qui l'ont inspiré et apporte ainsi un éclairage inédit sur son oeuvre.
Les Mémoires d'outre-tombe ne furent point publiés comme Châteaubriand l'avait d'abord souhaité. Dans l'Introduction à la présente édition, Maurice Levaillant expose pourquoi et comment, malgré la conscience des mandataires du grand écrivain, malgré leur fidélité à l'amitié et à l'honneur, le texte offert au public n'était pas tel qu'il aurait dû paraître dans l'édition originale. En établissant cette édition d'après l'édition originale et les deux dernières copies du texte, Maurice Levaillant et Georges Moulinier se sont proposés de «restituer aux Mémoires d'outre-tombe le texte et l'aspect qu'iIs auraient dû présenter dans l'édition originale ; de rendre ce texte aussi clair, aussi accessible et maniable que possible pour les étudiants et pour tous les lettrés», et de le compléter par des variantes, des notes, un appendice et un index. «On souhaite d'avoir réussi à placer dans une lumière plus favorable un ouvrage qui n'est pas seulement le chef-d'oeuvre de Châteaubriand, mais l'un des grands livres du XIXe siècle; oeuvre où la poésie et l'histoire s'entremêlent ; dans un miroir magique, à travers l'âme exigeante et orageuse de Châteaubriand, se reflètent l'âme même d'une époque et, de 1780 à 1840, soixante ans d'histoire de France.»
L'amour n'a pas d'autre désir que celui de son accomplissement.
Mais si vous aimez, la plupart des besoins ayant des désirs, que vos désirs soient :
Se mêler et être comme un ruisseau qui chante sa mélodie dans la nuit.
Goûter la douleur de trop de tendresse.
Etre blessé par sa compréhension de l'amour, Et saigner volontairement et joyeusement.
Se lever à l'aube avec un coeur ailé et rendre louange pour cette autre journée à aimer ;
Prendre du repos à midi et méditer sur l'extase amoureuse ;
Rentrer avec gratitude chez soi au crépuscule, Et alors s'endormir avec une prière en son coeur pour l'aimé, et un chant de grâce sur les lèvres.
Puisse la publication de ce grand classique, illustré avec un immense talent par Michele Ferri, continuer à promouvoir une vision essentielle, de beauté et de lucidité mêmées. Une vraie leçon de conscience que nous donne là celui qu'on a appelé le Mystique, le philosophe, le religieux, l'Hérétique, le Serein, le rebelle et l'Homme sans âge... lui, l'écrivain du Liban qui nous laisse un message d'une sagesse tout simplement immémoriale.
La correspondance fictive, de 1932 à 1934, entre un Allemand retourné en Allemagne et un Juif américain, marchand de tableaux en Californie, unis par des liens plus qu'affectueux, fraternels.
A partir de ses enluminures et d'une sélection de textes tirés de La Divine Comédie, Jean-Luc Leguay invite le lecteur contemporain à traverser les trois mondes de l'Enfer, du Purgatoire et du Paradis et le sensibilise au chef-d'oeuvre de Dante.
Calligram et Christian Gallimard font un reprint d'un vieux livre de la bibliothèque de Paul Gallimard, père de Gaston Gallimard, grand bibliophile et collectionneur de tableaux.
«Je vous souhaite d'être follement aimée.»Un des textes fondamentaux du surréalisme. Un des ouvrages de Breton dans lequel s'offre le plus ouvertement la gamme entière de ses «charmes». Le hasard et le désir, la vie et le rêve, le monde et l'homme entretiennent ici une mystérieuse correspondance de tous les instants.
Il est neuf heures du soir, dans un intérieur bourgeois de Londres, le salon de M. et Mme Smith. La pendule sonne les « dix-sept coups anglais ».
« M. Smith : Tous les Bobby Watson sont commis voyageurs.
Mme Smith : Quel dur métier ! Pourtant, on y fait de bonnes affaires.
M. Smith : Oui, quand il n'y a pas de concurrence.
Mme Smith : Et quand n'y a-t-il pas de concurrence ?
M. Smith : Le mardi, le jeudi et le mardi.
Mme Smith : Ah ! Trois jours par semaine ? Et que fait Bobby Watson pendant ce temps-là ?
M. Smith : Il se repose, il dort. »
Le Tao Tö King est un ouvrage classique chinois qui, selon la tradition, fut écrit autour de 600 av. J.-C. par Lao Tseu, le sage fondateur du taoïsme. De nombreux chercheurs modernes penchent pour une pluralité d'auteurs et de sources, une transmission tout d'abord orale et une édition progressive. Les plus anciens fragments connus, découverts à Guodian, remontent à 300 av. J.-C. environ. Il fut classé parmi les textes taoïstes par les érudits de la dynastie Han et faisait partie des écrits sacrés des Maîtres célestes. Le Tao Tö King a eu une influence considérable en Extrême-Orient et en Occident à travers ses très nombreuses interprétations et traductions. Il n'existe pas encore de conclusion définitive quant à sa signification réelle.
Les Mémoires d'outre-tombe ne furent point publiés comme Châteaubriand l'avait d'abord souhaité. Dans l'Introduction à la présente édition, Maurice Levaillant expose pourquoi et comment, malgré la conscience des mandataires du grand écrivain, malgré leur fidélité à l'amitié et à l'honneur, le texte offert au public n'était pas tel qu'il aurait dû paraître dans l'édition originale. En établissant cette édition d'après l'édition originale et les deux dernières copies du texte, Maurice Levaillant et Georges Moulinier se sont proposés de «restituer aux Mémoires d'outre-tombe le texte et l'aspect qu'iIs auraient dû présenter dans l'édition originale ; de rendre ce texte aussi clair, aussi accessible et maniable que possible pour les étudiants et pour tous les lettrés», et de le compléter par des variantes, des notes, un appendice et un index. «On souhaite d'avoir réussi à placer dans une lumière plus favorable un ouvrage qui n'est pas seulement le chef-d'oeuvre de Châteaubriand, mais l'un des grands livres du XIX? siècle ; oeuvre où la poésie et l'histoire s'entremêlent ; dans un miroir magique, à travers l'âme exigeante et orageuse de Châteaubriand, se reflètent l'âme même d'une époque et, de 1780 à 1840, soixante ans d'histoire de France.»
En 1947, John Steinbeck et Robert Capa voyagent quarante jours en URSS, de Moscou à Stalingrad en passant par la Géorgie et l'Ukraine pour un reportage destiné au New York Herald Tribune.Ce journal traduit par Philippe Jaworski, est pour la première fois publié en français, dans son intégralité avec les photographies de Capa.
Ce volume présente le premier recueil de Verlaine avec une analyse nouvelle des documents manuscrits et imprimés, mais aussi une étude de la construction du recueil. Avec leur mélange complexe de lyrisme et d'ironie, ces textes montrent un poète qui fait partie de la nébuleuse parnassienne, tout en cultivant des valeurs, esthétiques et éthiques, qui s'écartent de l'image que l'on s e fait généralement du Parnasse. L'implicite au coeur de cette oeuvre exige la prise en compte du contexte historique et culturelet la mise en évidence de ses audaces formelles, sémantiques et idéologiques.
Une mère témoigne de la maladie de sa fille, Thaïs, chez qui a été diagnostiqué à 2 ans une maladie génétique orpheline : la leucodystrophie métachromatique. Elle raconte le quotidien de sa famille face à la maladie, les visites chez le médecin, des moments de joie, ainsi que l'histoire de l'Association européenne contre les leucodystrophies.
Avec en fin d'ouvrage des réactions de lecteurs.