Reflet d'une jeune femme moderne, Lisa se doit d'être une femme parfaite, une maman idéale, une employée modèle, une meilleure amie à l'écoute, et elle doit se visser bien d'autres casquettes encore sur la tête.
Consciente que son couple meurt, elle se bat pour le sauver, tout en portant les problèmes de sa famille sur ses épaules.
Un jour, une rencontre inattendue change sa vie. Soutenue par son amie de toujours et par son jeune frère, Lisa va trouver la force de surmonter ses craintes et ses doutes pour s'ouvrir à la vie qu'elle mérite, oser vivre ses rêves et apprendre à s'affirmer. Complexée par son physique et persuadée de ne pas être au goût des hommes, elle va finir par s'accepter et croquer la vie à pleine dent. Une belle aventure dans un pays complètement étranger va l'aider à se retrouver.
L'histoire nous décrit, en quatre nouvelles, la vie des hommes à la recherche de leurs âmes soeurs. Ils ne peuvent vivre sans elles, alors ils tentent de les apprivoiser.Ces accros à la beauté diaboliquement féminine vont faire la rencontre de leur antihéros, homosexuel refoulé. Ils vont devoir affronter un monde dominé par les femmes. Leurs confidences réciproques vont les rapprocher et les lier, intimement. Jusqu'à les unir ?Plutôt détonant, cet ouvrage mêle la musique à la plume humoristique et aiguisée de l'auteur.Gérald Wittock est un auteur-compositeur né à Rome en 1966. Depuis son plus jeune âge, il voyage énormément, ce qui lui permet de parler couramment six langues. En 1992, il démissionne de son poste de cadre dans une multinationale et crée sa maison d'édition et de production audiovisuelle. En 2005, il monte son propre label, NO2 Records. Après avoir parcouru le monde, il s'installe à Marseille en 2011 et se consacre à l'écriture.
« April... Avril. Quand j'y pense, on est le vingt-deux aujourd'hui. Tout s'imbrique, tout coule de source [...]Aujourd'hui je pose une pierre importante. Je veux témoigner qu'une jeune fille, une femme pragmatique et terre à terre [...] peut s'ouvrir à la foi tout d'abord, à la spiritualité ensuite, à un travail sur soi qui mène à l'ouverture à « plus grand que soi » et sur le chemin si rocailleux de la guérison intérieure, et finir par se laisser toucher et guider par ces « manifestations » divines, par ce que l'Univers et ses anges gardiens ont à lui montrer sur elle-même et sur ce qui l'entoure. [...]April est le symbole, l'essence de ce que je veux exprimer dans ce manuscrit. C'est la témoin privilégiée, l'accompagnatrice de la métamorphose de l'ancienne Tania vers la nouvelle. Et la nouvelle Tania, curieusement c'est l'enfant en moi, le bébé qui riait, était heureuse de vivre et souriait à la vie. C'est April, mon double avec qui j'ai fait connaissance il y a moins de trois mois [...]April m'a accompagnée le temps d'une saison. Une saison indescriptible de manifestations qui m'ont conduite sur un chemin de découvertes toutes aussi incroyables. Je me suis découverte moi, et je t'ai découvert toi, lecteur. »Tania Zimen nous entraîne dans un véritable voyage initiatique, dans lequel nous, lecteurs, devenons, à mesure que les pages se tournent, interlocuteurs et acteurs d'une profonde transformation.L'écriture a toujours occupé une place importante dans la vie de Tania Zimen. À 8 ans, elle rédige ses premiers poèmes. À 16 ans, elle achève son premier roman, qu'elle édite vingt ans plus tard. Dès la trentaine, elle s'intéresse au développement personnel et se pose des questions existentielles. Ainsi, elle écrit le témoignage Cent jours, édité avec son premier roman Marine et Marinette en 2007.Aujourd'hui, elle continue à rêver, imaginer et créer.
Je ne voulais t'écrire qu'une simple lettre. Rien de plus qu'une simple lettre. Pour toi. Juste une lettre à toi. Simple. Succincte. Sans fioriture. Juste l'essentiel. À peine plus qu'une ou deux feuilles. Une lettre pour m'expliquer. Pour m'excuser. Pour t'avouer mes erreurs. Pour te parler un peu, choisir le verbe échanger aurait été des plus prétentieux et le mot monologue n'est pas un verbe. Sans prétention. Sans calculs. Sans manipulations. Juste avec honnêteté. Avec franchise. Tout en restant très factuel. Vider mon coeur et mon esprit. Me libérer de mes remords pour ne garder, de notre histoire, que les plus beaux et les plus amusants souvenirs. Pour tourner la page. Pour avancer. Pour vivre, enfin. Pour aimer, à nouveau. Quelques mots pour m'exprimer. Quelques phrases pour développer. Une ou deux conclusions pour étayer. Une plaidoirie pour convaincre. Et puis les souvenirs sont apparus. L'histoire s'est construite. Une réflexion s'est faite. Une prise de conscience s'est engagée. Un amour s'est effacé. Une page a tourné. Une autre a démarré. Une vie à vivre. Pour avancer. Pour profiter. Juste une simple lettre.Et puis, un roman s'est écrit.Robert Gruber est né en 1963. Passionné de voile, il a effectué une navigation de trois années, alors qu'il n'avait que 18 ans, autour du monde. Celle-ci s'est malheureusement terminée par un naufrage au large des côtes du Brésil. Certains passages de son premier roman sont directement inspirés de cette fabuleuse expérience de vie.
Seule face aux contraintes qui l'envahissent, Mythica Tory a tout pour réussir : elle est maligne, surprenante, et a un curriculum vitæ bien rempli pour une personne de son âge. Mais rien ne se passe comme elle l'imagine. Passionnée par l'écriture, elle envoie son manuscrit à de nombreuses maisons d'édition. Son père est le responsable adjoint de l'une de ces maisons. Prête à tout pour en apprendre davantage sur son géniteur, elle s'aventure dans un jeu qui s'avère dangereux. Consciente qu'elle peut tout gagner ou tout perdre, elle décide de tenter sa chance, tout en risquant de dévoiler un secret qu'elle garde depuis longtemps. Saura-t-elle gérer la situation à laquelle elle est confrontée ? Son géniteur deviendra-t-il un père aimant ou restera-t-il un inconnu ?Anne Nayagom est née en 2001. Elle écrit depuis l'âge de 10 ans afin de s'évader et de vagabonder dans les univers qu'elle construit. Elle signe avec J'ai l'enjeu son premier roman.
Cette expérience m'a changée, je porte aujourd'hui un regard neuf sur la vie. Chaque matin, je savoure le fait d'être en bonne santé, de pouvoir me lever, embrasser ma famille, et passer du temps avec mes amis.Nous devons toujours nous battre, quelle que soit la mésaventure qui nous tombe dessus. Nous devons continuer à croire en un lendemain meilleur, ne pas cesser d'avancer, même si cela exige un effort surhumain. Si nous perdons tout espoir, alors nous abandonnons notre combat, et nous serons condamnés d'avance.Manon Tireau est née en 2004. Du haut de ses 15 ans, elle a déjà traversé de grandes épreuves. Grâce à sa famille et à ses proches, elle arrive à retracer certaines étapes de sa vie afin de les mettre sur papier. Elle signe avec Un écrin de tendresse pour panser mes blessures son premier ouvrage.
Octobre, novembre, l'adepte de la voile guette l'aigrette blanche à l'horizon, les voliers qui du large amènent Eole dans leurs ailes, le plaisir de naviguer de nouveau, le pain sur la table.
Bordée de rouges falaises, une paisible station balnéaire baignée par la mer de Chine, balayée par la mousson. Arène de glisse nautique où l'on entend saluer en sourdine ceux qui vont mourir, îlot cosmopolite noyé dans un océan de natifs. C'est ici que débarque se faire moniteur de kitesurf un indigène au passé chargé, Nègre-Jaune, qui n'a jamais vu la mer. À la Cage aux cerfs-volants, club de voile quatre étoiles, notre blanc-bec quinquagénaire tombe amoureux de la jeune masseuse vedette.
Éric, Baptiste, Henri, Annette, Louis et Hélène, six enfants âgés de 4 à 6 ans, partagent une destinée à fendre l'âme. Tous issus de parents décédés ou défaillants, ils se voient placés dans une famille d'accueil commune et maltraitante. Pour ne pas mourir de chagrin, ils créent un lien proche de celui du sang, qui n'existe que par leur seule volonté. Ils se décrètent frères, mettent leurs larmes dans leur poche, et un mouchoir par-dessus. Ils vivent mille histoires, tristes ou joyeuses, et font un voeu. Pour le voir se réaliser, ils sont prêts à tous les sacrifices.
« Mon Dieu, je ne comprends pas pourquoi ma mère est morte le jour où je suis né, et je ne comprends pas pourquoi la maladie a tué mon papa. Il était si gentil et je l'aime tant... je t'attends. J'ai rempli ma valise. J'ai pris un pyjama, un pantalon, un tricot, une paire de chaussettes, une culotte... et mes livres. Sans eux, mon gentil Dieu, je serais parti avec mon père. Mais j'avais trop peur de la mort... aujourd'hui je me tiens prêt. » Les jours passèrent... et Baptiste posa ses valises, ses chagrins, ses espoirs et tout le reste, à côté de ceux d'Éric...
À l'âge adulte, ils ont décidé de raconter leur histoire.
« ... Marian était jolie. À plus de cinquante-six ans, elle lui semblait encore plus belle que la jeune femme un peu boudeuse qu'il avait connu à vingt ans, ses yeux, ses lèvres, ses seins, ses fesses, son sexe, il aimait tout mais plus encore il aimait quand elle le regardait, elle transpirait l'amour par tous les pores de sa douce peau et lui, pourtant difficilement sensible, il ressentait toujours ça au travers même de ses chairs.
Son attention dut se détourner de sa compagne et co-pilote (c'est elle qui effectuait tous les réglages et vérifications inhérents aux manoeuvres), car la procédure d'accostage sur Pari IM, demandait pas mal d'attention. Il était soucieux : « Que pouvait bien vouloir Mary Pôl, la Conseillère Nationale qui lui avait fait savoir qu'elle souhaitait s'entretenir avec eux avant la tenue du Concile Supérieur ?... » Gérard KEIFF est né le 6 janvier 1958 à Alger.
Il vit dans le sud de la France.
Il a exercé de nombreux petits boulots avant d'intégrer la Banque de France en 1982. Il est l'un des membres fondateurs de SOS Racisme dans la région PACA et a participé à la création de la première Maison des Potes en France. Politique engagé au Parti Socialiste pendant huit années. Syndicaliste pratiquant pendant trente-cinq ans. Coordinateur National des Comités d'Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail de la Banque de France durant dix ans. Aujourd'hui, libre de tout : fonction, appareil ou obédience, il livre ici son premier roman de « fiction ? » Un livre... bizarre.
Une roseraie, jardin des délices, où les violons langoureux célèbrent le romantisme.
Un Éden où les fleurs de l'Amour embaument et où « les baisers sont meilleurs que le vin » !
Il compose !
Elle écrit !
De l'adagio à l'allegro, le tempo obéit à l'exaltation de l'Amour, de la musique, des battements du coeur...
L'alliance de la sensualité et du sacré !
Il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises étapes pour faire son deuil, simplement le besoin de survivre.
Chloé Tremblay se remet progressivement de la mort de ses parents, lorsqu'un nouveau drame survient.
Comment encaisser les coups et faire face aux sentiments qui la submergent ?
Comment relever la tête et retrouver la joie de vivre ?
Mais la vraie question à se poser est de savoir si Chloé parviendra non pas à survivre, mais à vivre...
Antoine, qui a allègrement passé la quarantaine, travaille comme docker sur le port de Marseille depuis plus de deux décennies. La vie ne l'a pas épargné. Il y a déjà cinq ans que son épouse Lily, qu'il aimait plus que tout, est décédée brusquement, le laissant seul avec son chagrin.Alors qu'il reprend peu à peu goût à la vie, grâce à son cercle d'amis et à Mathilde, sa nouvelle copine, un événement va bouleverser son existence. Un sombre crabe s'attaque à lui et le ronge de l'intérieur. Le vieux loup est un dur à cuire, il va se battre... Le traitement médical de sa pathologie lui offrant un répit, il décide de se lancer dans un projet qui, depuis longtemps, lui tient à coeur : partir seul sur les routes de France au volant de son camping-car et vivre au jour le jour l'aventure. Ce road trip, qui le confrontera aux autres, lui révélera surtout qui il est et ce qu'il a dans le ventre, car tout au long du chemin, il devra faire face à une menace.Laurent Maero est né en 1958 à Marseille. Sa vie professionnelle, entamée à 18 ans, lui a fait côtoyer le petit monde passionnant du port de Marseille. Puis, les responsabilités venant avec le temps et l'expérience acquise, il a voyagé dans de nombreuses villes, se confrontant aux autres, un peu comme le héros de son roman. Ces rencontres enrichissantes lui ont donné le goût d'écrire, de partager avec les lecteurs sa passion pour la vie dans ce qu'elle a de plus simple et de plus beau à la fois.
«?Tout à coup, son regard s'arrêta, irrésistiblement attiré par deux yeux noirs ou verts - il ne savait pas trop - qui le fixaient avec intensité. Ils appartenaient à une brune bien proportionnée, aux courbes agréables, qu'il découvrait de l'autre côté du terrain de basket. Son regard délivrait un message. Martial en était sûr mais, sans expérience et plutôt timide, au lieu d'être encouragé, cela le désarmait. Seuls leurs regards construisaient un lien déjà très fort.?»Martial et Agnès ont tout de suite compris qu'ils étaient faits l'un pour l'autre. Mais la vie est-elle un long fleuve tranquille?? Leur destin sera-t-il semé d'embûches?? Les protagonistes parviendront-ils à affronter les obstacles qu'ils rencontrent??Michel GUITTARD est né en 1936 à Talence. Pendant trois ans, il enseigne dans une école primaire avant de devenir Professeur d'éducation physique. Après 64 ans de bénévolat dans l'athlétisme, il obtient la médaille d'or de l'EPS. Passionné de littérature, il écrit plusieurs romans de fiction et signe avec Une très longue parenthèse son premier ouvrage publié.
« Première lettre. Je te salue... » Pourquoi cet ardent souhait de correspondre ? j'aime ce mot qui dit tout... Correspondre : éprouver la connivence sans dire une parole, par le seul regard ; parfois, lien invisible qui tisse sa toile ; là où deux pinceaux viennent tracer une fresque colorée, inconnue, mais neuve : celle de la rencontre.
« Douzième lettre. La contemplation... » J'écris pour te retrouver là où tu pourras ne jamais venir ; j'écris pour parfumer mon coeur aux effluves de ton âme. L'écrit ressuscite une alliance.
« Treizième lettre. En chemin... » La lettre en jetée parcourt le quai du songe ; le bateau de la tendresse le longe quand tu arrimes ton visage.
Lettre en jetée est un recueil de quatorze lettres adressées aux lecteurs, aux lectrices, et à tous ceux qui me rejoignent sur un chemin de vie. Mes lettres s'abandonnent à ceux qui les reçoivent, sans espoir ni attente d'un retour...
André Pelras est né en 1950, dans les Pyrénées orientales. Il fut surveillant général, puis directeur de collège et de lycée. Après Le tombeau, il signe avec Lettre en jetée son second ouvrage.
À Paris, Louise Leroy-Choiseul, une quinquagénaire excentrique au grand coeur, se résout à partir en vacances, encouragée par ses proches. Voilà tout ce qu'elle déteste, tant elle trouve cela commun et sans le moindre intérêt. Et pourtant... Direction l'Italie et plus précisément la Toscane, à Cetona, l'un des plus beaux villages du pays. Un lieu chargé d'Histoire, idéal pour disparaître mystérieusement un soir d'orage...Est-ce l'oeuvre d'un désaxé local ou celle d'un proche de Louise qui aurait trop souffert de son égoïsme, de son arrogance, de son intransigeance ou de sa trop grande inflexibilité ? Cela pourrait également être une piètre blague de l'intéressée afin de pimenter son séjour...En moins de quarante-huit heures, Louise devient l'obsession d'un seul homme : le commissaire Pignatoro-Maggiore. Il va mener sans relâche une enquête afin de démêler le vrai du faux. Quelle piste suivre pour retrouver Louise au coeur de cette mystérieuse Toscane ? Cette disparition va précipiter la famille de Louise dans une tempête dont personne ne sortira indemne.Christine-Charlotte Cambresy, la cinquantaine dynamique et assumée, est une citoyenne en action. Depuis de nombreuses années, elle met ses compétences de communicante professionnelle au service de projets éclectiques et innovants.En écrivant La bicyclette d'Albert E., cette passionnée de littérature a réalisé l'un de ses plus beaux rêves : celui de partager, avec le plus grand nombre, sa vision du monde, son intérêt pour la multiculturalité, son amour pour les voyages et sa grande sensibilité.
4e de CVJe m'appelle Alexa Glab et je déteste les maths, ma soeur et les elfes.Ma vie n'était pas très intéressante jusqu'à ce que mon meilleur ami m'accuse d'avoir fait exploser le lycée, alors que ce n'était pas ma faute.Depuis, je suis en cavale.Ah non, on me dit à l'oreillette que c'est plutôt depuis qu'on m'a accusée d'avoir fait exploser mon internat de recadrement.J'ai déjà dit que ce n'était pas ma faute ?J'ai passé un contrat avec Monsieur Buffer pour qu'il rattrape le coup avec la police et je crois bien que je me suis fait arnaquer : à cause de lui, j'ai plein d'ennemis, dont le plus grand sorcier de tous les temps...BiographieOdile Dib est née en 2001 à La Réunion. Au lycée, elle commence l'écriture de La guerre des sorciers, une fantasy originale qu'elle achève après s'être installée en métropole pour intégrer une classe préparatoire en biologie, chimie, physique et sciences de la Terre.
Au début des années quatre-vingt, Henri, consultant, gagne un appel d'offres d'informatisation et découvre dans le cadre de sa mission l'univers de la bibliothèque nationale de Richelieu, ses personnages, leurs idées et leurs querelles.Puis brutalement, trois conservateurs de la bibliothèque sont assassinés en quelques jours.Pourquoi ? Ils avaient en commun des idées modernes concernant l'évolution des bibliothèques et de la Bibliothèque nationale en particulier. Pour Henri, un livre est le mobile des crimes. Un livre écrit par les trois victimes... et probablement quelqu'un d'autre. Mais comment trouver ce livre ?Il faudra attendre les années quatre-vingt-dix, le projet de Très Grande Bibliothèque et l'évolution des technologies pour mettre le coupable face à ses crimes...Philippe Lévy est né en 1952. Après une carrière de consultant en informatique et organisation, majoritairement effectuée dans les secteurs de la documentation et de la culture (BnF, Archives nationales, Institut de France... etc.), il prend sa retraite et puise son inspiration de son expérience pour écrire ce premier roman.
Honteux et profondément humilié, Lucas, commet l'irréparable. Accablé par son acte, il se débat pour survivre. Il est facteur d'orgue, un artiste d'exception, et construit un instrument inédit aux propriétés sonores mystérieuses. Cependant, quelqu'un s'acharne à vouloir anéantir ses efforts et met en danger ceux qui l'approchent.Pour sa rédemption, qui aurait parié sur un végétal aussi vivace et obstiné que Cuscute, la plante parasite ? Et pourtant...L'être insignifiant lui apporte une contribution décisive, d'une manière absolument inattendue, allégorie à la résistance au monde dur, dominé par l'Homme qui s'acharne à programmer, simplifier et abolir la complexité, alors que toutes les espèces vivantes sont liées.Sur fond de manipulations génétiques, la question demeure de pourquoi tout ce mal. Toute cette irresponsabilité, la haine, le meurtre... et la maladie fauchent sans pitié aucune.Insoluble ?Richard Martz est né en 1958. Après une longue carrière professionnelle, il prend sa retraite et se consacre à l'écriture. Il publie Dieu existe bien, je l'ai vu à l'oeuvre chez Publibook en 2013 et Qu'est-ce qui tue nos enfants ? aux éditions Mélibée en 2017. Son troisième ouvrage est réellement prometteur.
Réunis par le destin au coeur d'un attentat terroriste, Ferzé, jeune combattante kurde de Kobané, Aymen, opposant syrien à Bachar al-Assad, Clémence, jeune européenne aspirée par l'extrême droite et Chefik, musulman né en Europe et instrumentalisé par les marchands de haine, se retrouvent en huis clos avec l'un des terroristes.Selon leurs parcours de vie, les protagonistes vont appréhender différemment leur angoisse de la mort. Les secours arriveront-ils à temps ? Quelle sera l'attitude du terroriste ?Les personnages dialoguent, opposent leurs convictions, ressentent tour à tour de la peur, de l'indignation, de la colère. La volonté de survivre va-t-elle aiguiser leurs clivages ? Quelle sera leur interprétation de la sourate du Coran S2V256, qui prône la tolérance religieuse ?Catherine van Zeeland s'est engagée tôt en politique comme première échevine au coeur d'une commune bruxelloise, puis a été conseillère de la ministre de l'Intérieur belge à la veille des attentats. En 2012, elle publie son premier roman, Infid'elles, aux éditions Avant-Propos. Aujourd'hui retirée de la politique, elle est toujours passionnée par l'écriture.
De ma grand-mère paternelle, il ne reste que quelques documents officiels : son acte de naissance datant de 1905, ses actes de mariage de 1927 et 1938, ainsi qu'un avis de décès de 1971. Rien d'autre. Soixante-six années vidées de leur substance.Entre ces bornes de papier, le chemin peut être recréé à ma guise, juste enrichi de quelques vérités distillées par des proches. Ces réminiscences sont ténues et ne prennent pas beaucoup de lignes : femme de petite taille, blonde aux yeux bleus, bannie de sa famille lorsque ses enfants atteignent l'âge de quatre ans, de rares photos où elle apparaît le visage soigneusement découpé, des séjours en prison, son décès en Allemagne.Pourtant, derrière ces quelques mots se profile une vie peu banale, émaillée d'évènements douloureux voire honteux. À moi de tirer sur le fil invisible et de raconter noir sur blanc ce qu'aurait pu être la vie de mon aïeule.Sylvie Sirejacob naît en 1963 à Roubaix, dans le Nord, région qu'elle quitte en 2015 pour s'installer en Bourgogne. Professeure des écoles à la retraite, diplômée en histoire de l'art, adepte du yoga, elle est aussi passionnée de littérature. Elle livre ici son premier roman.
Guy Lambert, un professeur, totalement impliqué dans son métier, vit une existence heureuse et paisible. Mais un soir, une visite inattendue bouleverse drastiquement son quotidien.Soupçonné de viol et de meurtre, il se défend corps et âme, mais tous les indices convergent irrémédiablement vers lui.Lorsque la vérité est sur le point d'être révélée, le doute commence à s'installer... Qui est vraiment coupable de cet acte odieux ?Valentin Molliens est né en 1950. Il a été instituteur puis directeur d'école primaire. Il signe avec Du vent dans les roseaux son premier ouvrage aux Éditions Vérone.
Dans une passe mouvementée, Anthony n'a qu'un seul credo : celui de se venger de son ennemi juré. Un jour, l'un de ses pièges se retourne contre lui. Son chemin croise alors celui d'un sage à la philosophie pure. S'ensuit une quête initiatique, à la suite de laquelle sa vie va peu à peu prendre une autre tournure. C'est alors qu'une rencontre bouleversera son existence à tout jamais. Il croyait l'histoire finie, elle ne fait que commencer...
Ingénieur centralien, l'auteur, après une carrière dans le domaine de la recherche et du développement, a mis à profit sa retraite pour se consacrer à 1'écriture en collaborant avec différentes revues et associations littéraires. Le prix Renaissance de Poésie lui a été décerné en juin 2016.
Spectateur fidèle du Festival OFF d'Avignon, cette passion s'est notamment traduite par l'envie d'une plongée dans l'univers du théâtre populaire du Moyen Âge, auquel il a cherché à rendre hommage en adaptant en vers octosyllabiques modernes trois de ses farces les plus emblématiques, dans le respect aussi rigoureux que possible de la versification et du texte d'origine.
Ce recueil est une invitation à redécouvrir trois de ces écrivains anonymes qu'un auteur de la fin du XIXème siècle, Georges Gassies des Brulies, qualifiait de « petits Molières restés en chemin et inconnus, mais dont quelques-uns se sont approchés assez près du Molière véritable et immortel ».
Alors réponds-moi vite et dis-moi que c'est un malentendu, une réaction à chaud, des mots pour réconforter et satisfaire ta femme. Dis-moi que tu ne me laisseras pas porter cette responsabilité toute ma vie. Dis-moi surtout que tu n'es pas capable, toi mon père, d'une telle mise en scène qui n'aurait pour unique fin que de te débarrasser de nous facilement et en me faisant porter le chapeau. Dis-moi tout cela, papa, car autrement j'aurai jusqu'à la fin de mes jours une crainte, celle d'être ta fille et de te ressembler. J'espère que tu me répondras vite et me rassureras comme j'ai besoin de l'être.
Ta fille Marianne.
Marianne, adolescente de seize pleine de fougue, ne voit plus son père, suite à un différend familial. Elle lui écrit une lettre pour exiger des explications, puis perpétue cette habitude chaque année à l'occasion de son propre anniversaire. C'est le seul lien qu'elle réussit à garder avec son père, qui lui répond (presque) sans faillir. Marianne raconte des morceaux de vie, livre ses états d'âme, demande conseil. Son père « postal » se livre peu, mais derrière ce lien ténu, qui menace souvent de disparaître, se dessine l'envie de retrouvailles et l'espoir d'une relation vraie. Marianne déjoue le drame de sa vie avec ses estocades verbales et cherche désespérément à faire revenir vers elle ce père absent. Jusqu'à quand pourra-t-elle maintenir ce seul contact épistolaire ? Parviendra-t-elle à déclencher une vraie rencontre ?
Qui n'a pas connu une Marianne, en quête d'un parent perdu ? C'est la raison d'exister de cet ouvrage, que celle de nous dévoiler un personnage proche de nous, qui ne sombre jamais dans le désespoir ni la haine, et qui tente de faire exister l'absence, trop lourde. Marianne incarne un être intemporel qui fait preuve d'un formidable instinct de survie et de protection.