Vingt-quatre heures de la vie d'une femme

Traduit de l'ALLEMAND (AUTRICHE) par FRANCOISE WUILMART

À propos

Zweig ne donne sa voix qu'aux vaincus, qu'aux fragiles, qu'aux blessés. Il ne traque jamais la grandeur. Surpris, divisés, inquiets, ses personnages s'écartent des héros : loin d'être extraordinaires, ils sont ordinaires ; au contraire des figures hugoliennes, ils n'incarnent pas une force qui va', mais une faiblesse qui piétine... Qui, dans la littérature mondiale, a brossé des êtres plus proches de nous ? Éric-Emmanuel Schmitt, extrait de la préface.
Un soir d'été, dans un hôtel de Monte-Carlo, une femme quitte mari et enfants pour suivre un beau jeune homme arrivé là quelques jours plus tôt. L'événement met tous les pensionnaires en émoi, et bien peu nombreux sont ceux qui tentent de comprendre les raisons de cette fuite. Le narrateur, le seul à prendre la défense de l'infidèle, trouve cependant une alliée, une vieille Anglaise qui lui conte sa propre histoire, faisant de lui le détenteur d'un secret jusque-là inavouable. Les deux récits se croisent sur fond de valse viennoise, au milieu de la salle de jeux d'un casino auquel le jeune homme, objet des passions, est enchaîné.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Stefan Zweig

  • Traducteur

    FRANCOISE WUILMART

  • Éditeur

    Robert Laffont

  • Distributeur

    Interforum

  • Date de parution

    21/01/2021

  • Collection

    Pavillons Poche

  • EAN

    9782221251768

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    124 Pages

  • Longueur

    18.4 cm

  • Largeur

    12.4 cm

  • Épaisseur

    1 cm

  • Poids

    100 g

  • Diffuseur

    Interforum

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Stefan Zweig

Stefan Zweig (1881-1942), romancier, nouvelliste et dramaturge autrichien, naturalisé britannique, est l'auteur d'une œuvre prolifique qui ne cesse de susciter l'engouement du public et de multiples adaptations. Figure de proue lucide des cercles intellectuels de Vienne d'avant-guerre, il fuit la montée du nazisme et gagne l'Angleterre alors que "La Peur" - écrite en 1913 et parue en allemand en 1920 - paraît enfin en français (1935). Admiré pour la profondeur incarnée avec laquelle il traite l'exploration psychique de ses personnages féminins, il se fait connaître aussi pour son pacifisme. Révulsé par la Seconde Guerre mondiale, il convainc sa jeune épouse de se suicider avec lui, au Brésil, à l'âge de 60 ans.

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